• Trottin : n.m. (1856; 1652 ; 1598

    Ainsi donc est venu le temps de la définition pour les courageux qui m'ont fait le grand honneur de faire trottiner ce trottin dans leur cervelle. Bel hommage au mot qui s'est vu tour à tour fardé, puis vêtu de différentes culottes (courtes ou à rayures), qu'on a pris pour esseulé ou négociant, qu'on a associé au PSG ou aux classiques. Même à Jean Paul Gaultier. Et qui surtout fut l'occasion de découvrir d'autres gamins. Bref le voici le malicieux TROTTIN que vous avez fait revenir du passé en lui rendant ses gambettes.
     
    Trottin : n. m (1856; "laquais qui fait les course", 1652; "lapin", 1598 de trotter). Vieilli. Jeune employée d'une modiste, d'une couturière... chargé de faire les courses en ville. V. Midinette.

  • Commentaires

    1
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 15:50
    C'est là. Enfin Ici
    que la disparition des comms est la plus dommageable parce que l'on avait trouvé de bien belles définitions, en vérité je vous le dis.
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    2
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 15:51
    oui
    et personne ne nous croira jamais.
    3
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 15:52
    comme le dit caliméro
    (premier héros noir de la télévision) c'est trottin juste.
    4
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 15:58
    Euh Max
    le premier héros noir de dessin animé seulement, sinon le premier héros noir à la télé, c'est Zorro, naturellement lorsqu'il est habillé...
    5
    RJ
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:08
    franchement
    c'est tellment injuuste de se casser les noisettes pour finalement n'avoir que l'écorce d'un arbre sec!
    6
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:09
    bon Trenty on retrousse nos manches ?
    ma première définition avant le déluge de maintenance, était celle d'une trottinette customisé, refaite au tunning, qui allait à la vitesse d'un cheval au trop.
    7
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:09
    RJ
    il faut donc retenir de cette mésaventure qu'il ne faut pas casser ses noisettes contre un arbre sec, ça peut être douloureux.
    8
    RJ
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:10
    bon c'est un pépin
    à ce qu'il parait...trottin...courir, à vive allure (trotter)...celui qui court, modele (balzac, hugo etc etc)
    9
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:14
    Merci RJ
    je viens enfin de comprendre le rapport à Balzac, ça n'avait rien à voir avec un joueur du PSG qui dilapiderait son talent comme une fille du Père Goriot l'héritage paternel avant de se lancer dans la vannerie.
    10
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:21
    Moi ma première définition
    portait sur une personne devenue solitaire trop tôt, dénommé par ses congénères "trop un" Cette personne n'ayant pas compris que la vie se menait au galop alors qu'il la vivait trop au trot devenu "trottin" par une crase mutine. j'avais ajouté afin d'éclairer un peu plus les lanternes magiques, que lorsque cela se passait en milieu rural on appelait cela un "trottin de chavignol". Haha m'esclaffais je.
    11
    RJ
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:28
    alllez
    jaime pastroootin suspense
    12
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:34
    sincèrement
    je me rappelle plus trop mes définitions, je réagissais surtout aux bêtises de mon alter ego, celui qui est comme moi et qui parle beaucoup mieux !
    13
    Jeudi 6 Juillet 2006 à 16:47
    hé bien
    j'avais annoncé qu'il s'agissait d'un adjectif qualifiant quelques hommes trop fardés, donc trop teints. Depuis après quelques recherches poussées, j'ai appris que ce terme était usuel chez les boulangers somnolents s'endormant dans la farine, ainsi que chez les narcotrafiquants colombiens somnolents eux aussi.
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